• Regarde il gèle la sous mes yeux
    Des stalactites rêvent trop vieux
    Toutes ses promesses qui s'évaporent
    Vers d'autre ciel vers d'autres ports

    Et mes rêves s'accrochent à tes phalanges
    Je t'aime trop fort ça te dérange
    Et mes rêves se brisent sur tes phalanges
    Je t'aime trop fort
    Mon ange mon ange

    De mille saveurs une seule me touche
    Lorsque tes lèvres effleurent ma bouche
    De tous ses vents un seul m'emporte
    Lorsque ton ombre passe ma porte

    Et mes rêves s'accrochent à tes phalanges
    Je t'aime trop fort ça te dérange
    Et mes rêves se brisent sur tes phalanges
    Je t'aime trop fort
    Mon ange mon ange

    Prends mes soupirs donne moi des larmes
    A trop mourir on pose les armes
    Respire encore mon doux mensonge
    Que sous ton souffle le temps s'allonge

    Et mes rêves s'accrochent à tes phalanges
    Je t'aime trop fort ça te dérange
    Et mes rêves se brisent sur tes phalanges
    Je t'aime trop fort
    Mon ange mon ange

    Seul sur mon sort en équilibre
    Mais pour mon corps mon coeur et libre
    Ta voix s'efface de mes pensées
    J'apprivoiserai ma liberté

    Et mes rêves s'accrochent à tes phalanges
    Je t'aime trop fort ça te dérange
    Et mes rêves se brisent sur tes phalanges
    Je t'aime trop fort
    Mon ange mon ange

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  • On se dit souvent que la vie est éphémére et c'est vrai, mais on voudrait trop souvent ce la faire retirée pour finalement oublié qu'il n'y auras pas de deuxiéme chance.
    L'automne comme l'hiver apporte tellement de mélancolie... les feuilles mort jonches le sol, elle craque, le vent est froid voir glacial tout comme nous, comme moi.
    IL suffirait alors de penser que le soleil guérie le malheur . La solution de facilitée, prendre l'issue de secoure... ne plus dormir et ne vouloir que sa, sentir la lassitude envahir chacun de mes membres, la mélancolie ravagé chacun de mes jours, les cicatrices se réouvrent alors sur mes bras, dans mon coeur...
    Respirer l'air frais que j'aime tant et lui chuchoté : tu ne me suffiras pas pour vivre.
    Les yeux rougit par la fatigue, les ongles cassé, la peau blanche, les traces rouges; rouge sang..
    J'ai peur, peur de recommencer a tout faire pour que ma vie soit encore plus éphémére que ce qu'elle ne l'est deja.


    J'avais cru, prier, promis tellement fort pour que sa ne recommence pas, finalement j'ai échouée..



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  • je n'ai pas envie d'écrire pourtant c'est ce que je suis entrein de faire, allez savoir pourquoi le cerveaux nous dirigent toujours a des contradictions ....
    prenons nous vraiment le temps de faire ce que l'on a envie et ce que nous sommes contraint de faire par obligation de notre subcontient ?
    Le temps lui même ne nous en laisse pas le choix, il faut courrire, tout le temps courrire, allez au plus rapide et faire le mieux ... je pense que non
    il suffit de s'arrêter, de s'étendre dans l'herbe de regarder le ciel et de ce dire que finalement, courrire ne nous pousse qu'as mourrire .
    même si c'est inévitable.. il suffit juste de profiter de l'instant présent... prendre son temps et pas celui qu'il devrait nous être infligé... le reste n'est que poussiére...
    méttre un sentiment dérriére chaque seconde, chaque minutes passé, s'arrêter de vivre pour réspirer.....
    sentir chaque journée faire battre son coeur, savoir encore pourquoi on est en vie .... ne pas laisser le temps nous rattraper, l'ignorer ...
    juste toi et moi ...


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  • Des images me reviennent,
    Comme le souvenir tendre,
    D'une ancienne ritournelle,
    Autrefois en décembre.

    Je me souviens il me semble,
    Des jeux qu'on inventait ensemble,
    Je retrouve dans un sourire,
    La flamme des souvenirs.

    Doucement un écho,
    Comme une braise sous la cendre,
    Un murmure à mi-mots,
    Que mon cœur veut comprendre.

    Je me souviens il me semble,
    Des jeux qu'on inventait ensemble,
    Je retrouve dans un sourire,
    La flamme des souvenirs.


    De très loin un écho,
    Comme une braise sous la cendre,
    Un murmure à mi-mots,
    Que mon cœur veut comprendre.

    Une ancienne ritournelle
    Loin du froid de décembre

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  • j'ai peur ... peur de ne plus pouvoir dormir, de l'automne qui arrive menaçant la joie pour faire place a la mélancolie ..même si un soufle bonheure récheuffreras le vent glacial..
    pourtant ...j'angoisse ... le temps m'angoisse, les années passe, l'hiver aproche a répétition.. comme une musique funébre étant de plus en plus intense..
    le futur, j'aimerais tant que les chose soit aussi belle que je les imagines... que le futur soit avec toi ... qu'il n'y est pas des moments d'absences qui veulent dire que ce seras une habitude, parce-que tu seras partit ... emenant avec toi souvenirs, passé , joie, douceur et amour ....pour les jetés par la suite

    je ne veux pas de tout sa ...  tu sais ... j'y crois vraiment ....


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